Les projets 2019

Création et films d’archives, porté par La collecte locale des archives cinématographiques (Dijon – 21). Bruno Lombard et Nicholas Petiot ont sensibilisé les élèves de l’E2C à la conservation du patrimoine cinématographique à travers les questions du montage. Une analyse d’images en aller-retour entre films amateurs et grands classiques.

Les enfants crient, porté par MJC André Malraux (Montbard – 21). Igor Wojtowicz et huit jeunes ont co-réalisé un documentaire sincère et puissant mettant en lumière les joies et difficultés d’être jeunes en milieu rural aujourd’hui.

Quetigny fait son cinéma, porté par la ville de Quetigny (Quetigny – 21). De la programmation d’une soirée court-métrage avec Elen Bernard de Plan 9 à la réalisation d’une fiction d’anticipation sur la place du téléphone portable avec Fabio Falzone ; les jeunes du centre social et de l’accueil de loisir de la ville ont exploré la forme courte sous tous les angles.

La réalité virtuelle dans le Quartier, porté par Centre image (Montbéliard – 25). Youness Ouatiq a fait plonger les jeunes dans la réalisation d’univers en réalité virtuel. Un « nouveau monde » qui reprend les grandes pistes du scénario comme du jeu d’acteur.

Être fou à Planoise, porté par les 2scènes (Besançon – 25). Antoine Page fait plonger une dizaine de jeunes dans son univers onirique et mécanique. Une occasion rêvée de voyager dans un monde imaginaire qui convoque de nombreux savoirs faire cinématographiques.

Tournoi Paul Nicolas, porté par La Ferme Blanche (Clamecy – 58). Nicolas Micmacher a accompagné neuf jeunes dans l’exploration des techniques de drible tout autant qu’au cœur celles de la réalisation. Un portrait à plusieurs d’une ville avec pour toile de fond la lutte contre les inégalités sociale.

Racisme & Paysage, deux projets portés par Sceni Qua Non (Nevers – 58). Fiction pour l’un, animation pour l’autre. Deux thématiques, trois professionnels invités, deux genres, pour deux territoires et deux types de publics. Une règle de l’équilibre sur le fil de la diversité des approches.

Cinétalents, porté par Milles Visages (Rioz – 70). De l’idée divine au grand écran il n’y a pas que le gout du bacon, mais celui du travail. Dans un accompagnement exigeant et précis acteurs et réalisateurs en herbe ont exploré l’ensemble des postes inscrit au générique.

Vivre son cinéma, porté par la ville d’Autun (Autun – 71). Les sièges du cinéma Arletty ont accueilli mensuellement une dizaine de primo-arrivants. Petit à petit les yeux se sont ouvert, les langues déliées, les esprits aiguisés à tel point que cette bande de jeunes a pris ses bonnes habitudes dans la salle art et essai.

Premier court, porté par Cité créatif (Chalon-sur-Saône – 71). Belal Belmahdi s’est donné comme objectif la valorisation des talents de sa cité. Une diversité de profils réunis en un seul et même film court.

Ambassadeurs lycéens au cinéma, porté par Le Majestic (Digoin – 71). Sur le modèle du dispositif éponyme que l’on retrouve dans d’autres régions, le Majestic entend engager les jeunes dans une démarche de médiation et d’animation en s’appropriant des évènements de la programmation.

Derrière les apparences, porté par Effervescence (Mâcon – 71). En s’appuyant sur la réalisation d’une fiction courte de Faycal Bouhoussan, un parcours de séance spéciale mêlant débats et analyse de films a été proposé à différents jeunes publics de la ville de Mâcon.

Se faire son cinéma avec son portable, porté par la Ville de Mâcon (Mâcon – 71). L’association S’Masch donne les clefs de la réalisation de films de poche. Bien que dans toutes les mains, connaitre les ruses et astuces du cinéma sont toujours un plus. [Annulé]